Stress, gratitude et pendule de Newton
Le mental se concentre en priorité sur les situations stressantes et négatives.
Très souvent, le cerveau a tendance à se focaliser sur le négatif. Ainsi, lorsqu’un événement stressant survient, le mental s’y accroche comme une tique affamée sur la peau . Le champ de vision se réduit progressivement au point de ne plus voir que le problème.
Nous arrivons souvent à la situation où l’on a l’impression d’avoir une montagne de problèmes et une succession d’éléments stressants.
L’antidote de la gratitude
Un antidote pour contrebalancer cette tendance naturelle est de cultiver la gratitude. Etre reconnaissant, même des choses les plus petites (un petit déjeuner, la chance de se lever, un sourire, un loisir, prendre du temps pour vous….). Toutefois, cela n’est pas toujours aisé. Le cerveau est comme un muscle. Si pendant des années il s’est renforcé en se concentrant sur le négatif et le stress, alors c’est plus long d’aller dans l’autre sens. Cependant, à force de régularité, il perdra sa tendance à se focaliser sur le stress et le négatif. Cela vous permettre d’être plus serein et de retrouver de l’énergie.
Le chemin vers la gratitude
Au début cultiver la gratitude peut paraitre difficile et très intellectualisé. Cependant, dans notre société occidentale et « mentalisée » à outrance, je pense que cette étape est nécessaire. Peu à peu, avec la pratique, cela deviendra naturel et une véritable émotion dynamisante. A force de persévérance, vous passerez de « penser » la gratitude à la « ressentir ». Un véritable cercle vertueux se mettra en place. Il y a toujours du stress mais la gratitude viendra le contre balancer. Au final, cela fonctionne comme un pendule de NEWTON: quand la boule de droite tape (le stress), la boule de gauche tape de l’autre côté (la gratitude) et cela vient maintenir l’équilibre.
A vous d’essayer! Pourquoi ne pas cultiver votre gratitude? Plusieurs outils existent. Si vous voulez en discuter avec moi et aller plus loin (et plus vite), je vous laisse me contacter.
Fabien de ZENIRELAX
